Affaire Dubaï Porta Porty: « Je suis passée de stripteaseuse à une femme qui mange de la merde »

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Citée dans l’affaire Dubaï Porta Porty, l’influenceuse française Milla Jasmine a tenu à répondre aux accusations de scatophilie. 

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Depuis peu, une histoire de c*ca crée le buzz sur les réseaux sociaux. Il s’agit de l’affaire de « Dubaï Porta Potty » (en référence aux toilettes publiques portatives à Dubaï). Tout est parti des révélations d’une jeune femme adepte des réseaux sociaux.

Cette dernière a raconté dans un direct, sa mésaventure à Dubaï, où, elle était réduite en esclave sexuelle et devait assouvir les fantasmes les plus ignobles de richissimes hommes saoudiens. Les pratiques plus courantes étaient la scatophilie et la zoophilie, selon la jeune femme.

Cette actualité qui a pris en haleine l’Afrique toute entière, fait également écho dans les autres coins du monde, notamment en France où, l’influenceuse Milla Jasmine a été citée. Elle est notamment accusée de scatophilie.

En effet, le blogueur Wassim TV a révélé que des influenceuses comme Oceane, Marine El Himer et Milla Jasmine font partie du réseau Porta Potty : « Pas mal d’influenceuses que vous voyez sur les réseaux sociaux sont en effet des escortes. Elles sont payées pour passer du temps avec des milliardaires à Dubaï. Mais si elles veulent plus d’argent, elles doivent faire pas mal de choses »Prise à partie de la sorte, Milla Jasmine n’a pas tardé à réagir aux allégations du blogueur.

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« Je n’en fais pas partie »

Dans sa déclaration, elle a rappelé qu’elle a été stripteaseuse aux Etats-Unis dans le passé, comme elle ne l’a jamais caché : « Ce n’est un secret pour personne, mais je ne laisserai pas des gens rajouter des horreurs pour me salir », a-t-elle déclaré, réfutant toute participation à une pratique de scatophilie.

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« Vous avez envie d’y croire pour soulager votre frustration » a-t-elle lâché, « Oui malheureusement il doit y avoir des filles qui s’adonnent à ces pratiques, mais je n’en fais pas partie et je n’en ai jamais fait partie ».

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