Côte d’ivoire : Un employé de la Yôrôgang dévoile l’origine du succès d’Arafat DJ

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Décédé tragiquement dans un accident de moto à 33 ans, la mort d’Arafat DJ fait toujours polémique dans toute l’Afrique. Mais surtout, sa célébrité. C’est ainsi qu’un employé de son label, a fait une révélation sur son succès fulgurant.

Depuis sa mort le 12 août dernier, la thèse de son appartenance à la franc-maçonnerie ne fait que fuiter sur les réseaux sociaux. Certains prétendent que son succès subite, lui vient de cette célèbre secte d’où sa mort tragique et très jeune. Mais pour d’autres, ce n’est que le fruit du travail acharné que ce dernier a effectué au cours de son existence. L’un ou l’autre, un membre de son camp s’est livré sur le sujet.

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Sur Afrique–sur 7, ce membre de la Yôrôgang a voulu faire savoir, combien le Daïshikan se donne au travail. « Arafat était un fou de la musique. Il pouvait concevoir trois à quatre chansons par jour. Tout le succès qu’il a eu, n’est pas forcément le fruit des forces occultes comme les gens le disent un peu partout, mais c’était un grand bosseur », a-t-il laissé entendre.

Il poursuit en confiant aussi une part de la relation entre le roi du coupé décalé et Ariel Sheney. « Je pense que l’erreur d’Arafat DJ, c’est qu’il disait tout haut ce que les gens pensaient tout bas. Sinon quand Arafat te porte dans son cœur, il est prêt à tout pour toi. Je prends l’exemple d’Ariel Sheney. Lorsqu’il est arrivé à la Yorogang et qu’il est devenu l’arrangeur officiel de la Yorogang, certains ont tout fait pour empêcher cela.

Mais Arafat insistait pour qu’Ariel Sheney soit à ses côtés. Voilà pourquoi, il a eu très mal lorsque Ariel Sheney est parti de la Yorogang. Même moi qui vous parle, il y a des gens qui jalousaient mon poste et qui lui ont envoyé des messages pour me torpiller. Mais lui, en retour, me montrait ces messages et me disait de faire très attention à mes amis », dénonce-t-il aussi pour faire part de l’ambiance présente dans la maison de production.

Il rassure les fans, les Chinois que l’œuvre du Daïshi ne s’arrêtera pas là, à sa mort mais perdura dans le temps. « Arafat était très fort mentalement. Il avait la rage de vaincre. Même quand ça n’allait pas chez lui, il ne le montrait pas aux yeux de tous. Raison pour laquelle, bien qu’affectés par la mort de notre mentor, nous allons mettre tout en œuvre pour pérenniser la mémoire de notre Daïshi », va-t-il conclure.

Bénin times.

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