Le porte-parole de la présidence en RDC a indiqué que des enquêtes ont révélé des preuves pointant vers des actions contre la sécurité.
Lors d’une déclaration mardi à la télévision d’Etat, le porte-parole de la présidence de RDC Kasongo Mwema, a évoqué un complot en cours contre la sécurité du pays. Selon lui une telle tentative de « déstabiliser les institutions démocratiques » ne serait pas tolérée.
Cette déclaration intervient à la suite de l’arrestation samedi de François Beya, le conseiller spécial à la sécurité du président Félix Tshisekedi. Cela s’est produit alors que le président assistait à un sommet de l’Union africaine dans la capitale éthiopienne, Addis-Abeba.
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L’arrestation a déclenché des manifestations, des membres du parti du président étant descendus dans la rue. Le porte-parole du président a déclaré mardi que des enquêtes étaient en cours et que la situation était sous contrôle. Le silence du gouvernement et de la présidence depuis samedi a alimenté les spéculations sur l’instabilité dans le pays.