Viol et meurtre en série, voici comment ils opèrent | IVOIRE TV5
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Viol et meurtre en série, voici comment ils opèrent

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Viol et meurtre en série, voici comment ils opèrent.
1-Ils t’invitent à prendre un pot dans un endroit public pour te rassurer.
Ça peut même être un endroit de ton choix. Ils prennent des mois et des semaines à te parler sur Messenger pour gagner ta confiance.
2- Une fois sur les lieux du rendez-vous, ils te droguent. Ils le font lorsque vous passer votre commande. Dans certains cas après ingestion de la drogue, tu es soit semi-consciente, consciente, affaibli ou pour certaines inconscientes.
3- Étant dans un état de faiblesse poussé, tu es à leur merci. Tu est désorientée, incohérente et très faible.
4- Ils s’arrangent pour que les gens autour pensent que tu fais un malaise. A cet endroit ceux-ci vous aident souvent à monter en voiture ou en taxi, la même histoire est répétée au conducteur.
5- Souvent ils t’envoient à l’hôtel ou en résidence avec l’aide dès témoins ou de personnes de bonne volonté à qui ils expliquent régulièrement et avec assurance que tu es leur épouse ou partenaire et que tu fais un juste un petit malaise.
6- Une fois en résidence ou à l’hôtel, ils expliquent au gerant que leur chérie ne se sent pas bien et qu’ils souhaitent rapidement t’envoyer en chambre, ce stratagème leurs permets de passer le cap de l’identification vu l’urgence.
7- Certains te contactent pour un casting, ils utilisent souvent des femmes qui ont une activité du genre maquilleuse, coiffeuse, vendeuse en ligne, mannequin cuisinière ect…enfin il faut redoubler d’effort si tu a ses profils, sinon nous sommes toutes à risque.
8-Ils te donnent rendez-vous dans une résidence, une maison ou un hôtel, où souvent même dans des bureaux fictifs montés pour appâter les victimes et les cibles.
9- Une fois sur place, ils t’offrent aimablement un verre pour te droguer et le tour est joué une fois de plus.
10- Ils utilisent de plus en plus de femmes comme complices, histoire de vous rassurer.
Ceci s’applique aussi aux HOMMES.
Beaucoup de victimes refusent de porter plainte de peur d’être jugées par la société où encore par les juges, les avocats, les procureurs, les psychologues, les détecteurs de mensonges et même les gynécologues des réseaux sociaux, notamment sur Facebook qui est pourtant un puissant canal.
Faisons attention.
Sensibilisons,
Communiquons,
Partageons,
Éduquons, éduquons et éduquons pour limiter au moins les risques.

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