Dans un entretien accordé au quotidien pro-gouvernemental « Fraternité Matin », à paraître le jeudi 25 Avril 2024, l’ex-Première Dame, explique pourquoi elle continue de se faire appeler, Simone Gbagbo, malgré le divorce demandé par l’ex chef de l’Etat ivoirien.
« Je ne suis pas encore divorcée, d’ici là, les ivoiriens, je les autorise à m’appeler toujours Simone Ehivet Gbagbo », a-t-elle tranché.
La présidente du parti Mouvement des Générations Capables (MGC) fait une mise au point sur sa relation au plan politique avec son désormais ex-époux, Laurent Gbagbo.
« Je suis très optimiste à ce sujet. Je pense, quand nous allons soulever les vrais débats politiques, nous allons nous retrouver et vous allez voir. A ce niveau, je n’ai aucune inquiétude. Les ivoiriens seront informés. Ils verront », a annoncé Simone Gbagbo, et d’ajouter que ces vrais problèmes sont entre autres, de faire en sorte que la Côte d’Ivoire soit « capable d’organiser, de sauvegarder la démocratie et la vie des citoyens, d’organiser des élections propres et transparentes et « d’apporter des solutions aux questions de cherté de vie et de sécurité. »
Interrogée si des démarches ont été entreprises entre elle et son ancien allié politique, Simone Gbagbo interroge.
« Pourquoi voulez-vous avoir tous les secrets ? », et d’insister. » Tout sera visible. Vous le saurez (…) Il n’y a jamais de rupture définitive en politique. »
