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Après l’ ultimatum donné aux putschistes, soldé par un échec de la CEDEAO, un sommet a été organisé pour déterminer si les opérations militaires prévues auront lieu où pas.
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La Russie d’ un autre côté avec à sa tête le président Vladimir Poutine, suit les choses de prêt depuis peu, et il n’ a pas manqué de fait connaître son point de vue sur la situation au Niger. Cette réaction du Kremlin semble être la bienvenue au regard de la montée des tensions.
Il est clair que l’ ultimatum donné aux militaires putschistes a été ignoré et d’ un autre côté, Alassane Ouattara a détaillé ce qui a été convenu lors du sommet africain organisé. Il est clair que l’ organisation africaine préfère les moyens diplomatiques pour rétablir l’ ordre constitutionnel, mais maintenant la menace de l’ usage de la force.
« Les chefs d’ état- major auront d’ autres conférences pour finaliser les choses, mais ils ont l’ accord de la conférence des chefs d’ État pour que l’ opération démarre dans les plus brefs délais. Les putschistes peuvent décider de partir dès demain matin et il n’ y aura pas d’ intervention militaire, tout dépend d’ eux. Nous sommes déterminés à réinstaller le président Bazoum dans ses fonctions », a déclaré le président ivoirien Alassane Ouattara.
Au regard de tout ce qui déroulent, le chef du Kremlin par Maria Zakharova, le porte- parole du ministère russe des Affaires étrangères a montré que pour la Russie, l’ option militaire est à proscrire.
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« Nous pensons qu’ une voie militaire de résolution de la crise au Niger pourrait conduire à une confrontation prolongée dans ce pays africain ainsi qu’ à une forte déstabilisation de la situation dans l’ ensemble de la région du Sahara et du Sahel. Nous considérons qu’ il est extrêmement important de ne pas permettre une nouvelle dégradation de la situation dans le pays, nous pensons qu’ il est urgent d’ organiser un dialogue national pour rétablir la paix civile, assurer la loi et l’ ordre », a déclaré Maria Zakharova, la porte- parole du ministère russe des Affaires étrangères.
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