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Angela Kpeija, pour lui emprunter ses propres mots, a mis ” les pieds dans les plats”. Certaines gorges chaudes de l’intérieur de l’ORTB comme de l’extérieur diront ” Angela, elle n’est pas un ange”, oui, je vous l’accorde. Mais, si elle est arrivée à ce niveau de saturation, cela veut dire que la coupe, elle est pleine. Et elle est effectivement pleine depuis de longues années.
Si les femmes doivent offrir ce qu’elles ont, pour quoi que ce soit, les hommes, quand a eux, doivent avoir leurs bras tout le long de la couture de leurs pantalons et baisser la tête quand les chefs passent pour prétendre à quelque chose.
Certains y réussissent parfaitement. Et la dégringolade s’est poursuivie depuis que le DG, pour nommer un sous-chef doit aller faire le piquet au ministère. Changer quelque chose à partir de 2016, c’était le sens du combat de certains parmi nous.
Pendant que nos réunions à Caboma, après l’élection devraient se porter sur l’avenir de notre maison, chacun s’est intéressé à son positionnement. Et les autres qui étaient dans l’autre camp se sont vite recyclés, parrains et marraines sont entrés dans le jeu. Le bal des cancres a repris et on a vite replongé. Le cas Déo Gracias est là. Si l’actuel DG ne règle pas ce problème sous peu, le dossier sera sur la place publique.
Au fait, pour caricaturer, l’ORTB, est à l’image du pays.