Dans une vidéo publiée dimanche 13 novembre sur Telegram, le groupe Wagner a mis en scène l’exécution d’un de leurs membres ayant voulu passer en Ukraine.
L’affaire a débuté avec la publication d’une vidéo, relayée par des comptes proches de Wagner sur les réseaux sociaux, d’un homme accusé de s’être rendu aux forces ukrainiennes avant d’être repris par les Russes. On y voit cet homme, qui se présente comme Evguéni Noujine, être tué d’une manière particulièrement brutale, le crâne frappé avec une masse.
« Je suis Evgueni Anatolievitch Noujine, né en 1967. J’ai rejoint le front dans le but de passer du côté ukrainien et de me battre contre les Russes. Le 4 septembre, j’ai mis en œuvre mon plan. Le 11 novembre, dans une rue de Kiev, j’ai reçu un coup sur la tête et j’ai perdu connaissance. Je me suis réveillé dans cette cave où on m’a indiqué qu’on allait me juger. »
L’homme qui parle a le visage attaché à une brique par du film plastique. Il a à peine le temps de terminer sa phrase qu’un violent coup de masse s’abat sur sa tempe. Il est ensuite achevé au sol d’un second coup.
Dans une vidéo publiée dimanche 13 novembre sur Telegram, le groupe Wagner a mis en scène l’exécution d’un de leurs membres ayant voulu passer en Ukraine.
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L’affaire a débuté avec la publication d’une vidéo, relayée par des comptes proches de Wagner sur les réseaux sociaux, d’un homme accusé de s’être rendu aux forces ukrainiennes avant d’être repris par les Russes. On y voit cet homme, qui se présente comme Evguéni Noujine, être tué d’une manière particulièrement brutale, le crâne frappé avec une masse.
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« Je suis Evgueni Anatolievitch Noujine, né en 1967. J’ai rejoint le front dans le but de passer du côté ukrainien et de me battre contre les Russes. Le 4 septembre, j’ai mis en œuvre mon plan. Le 11 novembre, dans une rue de Kiev, j’ai reçu un coup sur la tête et j’ai perdu connaissance. Je me suis réveillé dans cette cave où on m’a indiqué qu’on allait me juger. »
L’homme qui parle a le visage attaché à une brique par du film plastique. Il a à peine le temps de terminer sa phrase qu’un violent coup de masse s’abat sur sa tempe. Il est ensuite achevé au sol d’un second coup.
